Le 8 décembre, pour la Journée internationale du climat, se prête parfaitement à une réflexion sur le lien puissant entre le véganisme et la protection de l’environnement. Adopter une alimentation végétale est un geste fort pour limiter les changements climatiques.
La production animale, qu’elle soit destinée à la viande, au lait ou aux œufs, est l’une des principales sources d’émissions de gaz à effet de serre. Selon les experts du climat, elle représente environ 15 % des émissions mondiales, comparable aux émissions des transports mondiaux.
En choisissant des repas végétaux, nous réduisons significativement notre empreinte carbone, mais ce n’est pas tout : nous faisons aussi un pas vers la préservation de ressources précieuses comme l’eau et les terres agricoles. Cultiver des légumes, légumineuses et céréales, nécessite bien moins d’eau et de terres que l’élevage.
En clair, chaque assiette végétale contribue à un usage plus équilibré et durable des ressources.
Au-delà de l’impact environnemental, cette approche met également en avant une certaine philosophie : celle de l’harmonie avec la nature. Face aux défis climatiques, le véganisme incarne une forme de résilience et de responsabilité. C’est en adoptant ces petits gestes quotidiens, comme choisir des menus vegan, que l’on contribue à un avenir plus sain et à un climat plus stable pour les générations futures 💖.